Une certitude : le pays va mal du fait d’une gestion approximative et hasardeuse de la part des actuels gouvernants. Nul, y compris les partisans et défenseurs de «Boua » ne sauraient le nier. Il suffit juste de se rappeler l’état des lieux en 2013, année d’investiture du président IBK et de faire une judicieuse comparaison ...